[Cum Lubilo]

[Gropabo]

[golgoth5]

Concernant l'idée de l'école :
- Morrighan perçoit mal l'intérêt, ça ne lui semble pas le plus utile à la communauté. Mais pourquoi pas organiser des deux ou trois sessions dans la semaine pour les bases : lecure / écriture du lapin et calcul.
Pour ce qui est de l'enseignement l'Alliance héberge deux érudites : Nitouche pour ce qui touche aux matières techniques et votre bibliothécaire, Fiorenza, en ce qui concerne les matières universitaires.
- Morrighan n'est pas spécialement favorable à l'idée d'avoir un servant attaché à chaque mage ou des combattants professionnels mais pourquoi pas. Nitouche ne voit pas de problème à une telle organisation, même si elle trouve dommage qu'on dénigre ainsi les servants qui font globalement bien leur boulot en mission. Après la protection de certains mages risque de relever de la punition

[Cum Lubilo]

Ouvrez des écoles et vous fermerez des églises ! Non mais, révolutionnaire va !

Sur tout, je suis absolument d'accord, PCF le propose depuis des années ainsi que la mise en place d'un ID VAL MORE TOUCHE, une "charte graphique" pour créer une identité locale et donc un attachement des hommes de peu et donc une fierté dans l'accomplissement sans compter des tâches les plus difficiles et ingrates "pour le Val Moré et son splendide seigneur !".

[phenix]

Je suis d'accord pour la création d'une école.

[Stukka]

En attendant que Tôma poste son dernier résumé ( ), j'ouvre ce sujet histoire de discuter de la vie de l'Alliance entre deux scénars :

Pour le coup, c'est principalement parce que le sieur Agrios de Tytalus suite à la dernière aventure (la découverte d'un régio contenant une copie "améliorée" de Val Brésac), ramène quelques idées au Val et qu'à l'occasion d'un Conseil, plutôt que de bougonner en attendant de retourner courir les champs, il les soumet.

Selon lui, cela fait un petit moment que l'Alliance fait sa petite vie, mais qu'il serait bon de penser à améliorer un peu le futur de celle-ci :

- en mettant en place une école : il y a un certain nombre d'érudits dans les murs, et nul doute qu'ils peuvent trouver le temps d'apprendre à lire, écrire et compter aux enfants des servants (les servants eux-mêmes étant souvent bien occupés). Ce sera utile tant aux servants qu'à l'Alliance. Et puis bon : après avoir formé un premier groupe à tout ça, il formera les générations suivantes sans soucis.

- en construisant de nouvelles bâtisses : pas seulement une école (pas forcément immense, mais au moins un bâtiment fait pour), mais aussi de nouvelles maisons pour attirer de potentielles nouvelles familles, etc. Agrios en profiterait bien pour se faire une vraie, grosse grange où caser tant son labo que... ses moutons

- en améliorant la formation de la garde : les hommes d'arme (hors Nitouche ) du Val sont quand même à 80% des servants ayant plus ou moins un autre métier et montant la garde tour à tour, et généralement en se plaignant ("Whooo, non M'seigneuuuur"), ou en faisant preuve d'une discipline pas toujours exemplaire. Donc il faudrait peut-être voir à spécialiser au moins un minimum de nos larrons : quelques combattants à l'épée, une paire de lanciers, et comme on a des remparts et que c'est toujours pratique, un bon groupe d'arbalétriers

- en suivant une pratique utilisée par d'autres Alliances : le fait d'attribuer un servant en particulier comme garde du corps personnel de chaque mage : non seulement ça permettrait aux consortis les plus bougons d'avoir toujours un minimum de contact avec la turbula même quand ils restent enfermés dans leurs labos, mais en plus en déplacement ça permettrait un peu plus de sécurité avec des servants plus habitués à leurs mages, à leurs besoins (je n'ai pas parlé de ceux de PCF) et du coup peut-être moins "paniqués" face à certaines situations et plus expérimentés face au surnaturel (moins paniqués à chaque entrée dans un régio par exemple).

Certes, tout cela coûte des sous, mais bon : une Alliance bourrée de mages peut, à défaut de générer magiquement du pognon, rendre plus facile la création de biens de luxe à vendre à Toulouse ou l'exploitation de ressources diverses.

Voilà !