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Séance du 21 ? 14 ? Je ne sais plus

 
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Deadelvis



Inscrit le: 16 Nov 2005
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MessagePosté le: Jeu 02 Aoû 2007, 21:01    Sujet du message: Séance du 21 ? 14 ? Je ne sais plus Répondre en citant

Un résumé bien tardif (faute avouée, à moitié pardonnée) :

Les joueurs avaient donc été invités au couvent par la Mère Supérieure, par l’intermédiaire de Sœur Edith sa seconde.

Le groupe s’est donc installé dans une grande pièce inoccupée du couvent (probablement utilisée pour accueillir les gens de passage) et sœur Edith leur a proposé de se joindre à leur repas et éventuellement d’assister à un des offices religieux. Elle a fixé comme conditions que le repas devrait être silencieux, que les sœurs ne devaient aucunement être importunées par les hommes du groupe et que le cloître (autour duquel sont réparties les cellules des sœurs) était territoire interdit.
Evidemment, dès leur arrivée, les joueurs ont commencé à explorer leur nouveau terrain de jeu :
Une enquête du côté des écuries a permis d’apprendre plusieurs trucs. Sœur Anna, la doyenne du couvent (plus vieille que la Mère supérieure, c’est dire) est celle qui s’occupe des bêtes. Elle réside ici depuis 18 ans. Elle sait que c’est la première fois qu’un pareil incident (la mort de Julie) se produit. Elle ne croit pas à un meurtre mais admet que Biquette (la jument responsable) est une coupable surprenante, tant l’animal est d’un naturel placide (ce qui est le cas de tous les chevaux du couvent, qui sont des chevaux de bât, bien costauds et franchement calmes). Sœur Anna est aidée dans sa tâche par Sœur Cécile (absente au moment où les joueurs ont parlé à Sœur Anna), une sœur qui a récemment prononcé ses vœux, mais résidait déjà au couvent en tant que novice.
Le repas, pris avec les sœurs s’est déroulé sans événement majeur. Sœur Aude, se charge pendant ce moment de recueillement de lire les écrits saints, et Mère Elisabeth se charge de rappeler à l’ordre les novices ou les sœurs qui ne se montrent pas assez attentives.
Hors des messes et du repas, chaque sœur vaque à ses occupations, déterminées par la Mère Supérieure. Elles sont relativement libres tant que le travail est accompli, et ont alors le droit de discuter entre elles. Les novices récoltent les tâches les plus ingrates et aident celles des sœurs qui ont trop de travail.
Morrighan est revenue à la charge auprès de Mère Elisabeth, mais celle-ci, bien que déstabilisée (mon Word me dit que ce mot s’écrit avec un accent : bizarre) par certains arguments qu’on a pu lui avancer, refuse toujours de croire à un meurtre (en tout cas pas à un crime perpétré par une de ses filles).

Les PJs ont donc décidé d’organiser une surveillance du cloître de nuit, partant du principe sain que si truc louche il y a, c’est forcément la nuit que ça se passe. Ils n’ont pas eu longtemps à attendre : pendant le premier tour de garde, assuré par la téméraire Nitouche (qui déverse un peu de farine devant chaque porte afin de repérer tout mouvement suspect), une sœur (Cécile, la jeune qui aidait aux écuries) sort de sa cellule, titube quelques pas et meurt en convulsant. Une Nitouche dotée d’une mémoire particulièrement impressionnante réussit à diagnostiquer un empoisonnement à l’aconit, une plante médicinale dont il convient de ne pas abuser. Avant de prévenir qui que ce soit, Nitouche va fouiller la chambre de Cécile et n’y découvre pas de tasse renversée ou de chose de ce genre (ni rien qui détonnerait dans l’austérité des lieux). Nitouche prévient alors le groupe de joueurs, ceux-ci discutent avec le fantôme de la défunte qui leur apprend que Sœur Mathilde lui avait amené une tisane peu de temps avant qu’elle ne meure, affirmant que ce breuvage l’aiderait à se débarrasser du mal de ventre dont elle se plaignait (alors que c’est Sœur Clothilde et Sœur Flora qui se chargent de soigner les malades normalement). Finalement la troupe prévient les sœurs de la nouvelle tragédie. Le corps de Cécile est amené dans la chapelle pour y être veillé, et Morrighan part en vadrouille du côté des quartiers de la Mère Supérieure, qui se situent dans une tour au premier étage. Une inspection, tant du bureau de la Mère Elisabeth que de sa chambre ne révèle rien de particulier, si ce n’est que la responsable du couvent ne vit pas dans une austérité aussi sévère que ses filles. A l’étage supérieur se trouve la bibliothèque du couvent, mais Morrighan ne s’y attarde pas.
Armand pendant ce temps vérifie que le diagnostique de Nitouche correspond (et c’est le cas) et la troupe confronte la Mère supérieure à ce fait (qui de toute façon semble vraiment bouleversée par cette nouvelle tragédie, et plus encline à croire à quelque mauvais acte). La troupe confie à la supérieure du couvent qu’une sœur leur a avoué, sous couvert d’anonymat, avoir vu Mathilde sortir de la cellule de Cécile peu de temps avant qu’on ne retrouve celle-ci morte. Sœur Mathilde est alors interrogée par Morrighan en présence de Mère Elisabeth. Elle affirme d’abord ne pas avoir vu Cécile après la messe, puis, confrontée au faux témoignage, se souvient avoir effectivement apporté une tisane à la défunte. On lui demande alors où elle a trouvé les ingrédients pour faire cette tisane, et Sœur Mathilde affirme s’être servie en cuisine. Malheureusement pour elle, en cuisine aucune trace d’aconit ne vient confirmer ses dires. Visiblement de moins en moins crédible, Mathilde s’enfonce dans ses mensonges avant d’être prise de folie et de tenter de frapper Morrighan d’une poêle et de s’enfuir. Rapidement maîtrisée, c’est une sœur aux traits déformés par la rage, la cupidité et d’autres sentiments inavouables qui confesse le meurtre de Cécile. Celle-ci possédait un collier « bien trop beau pour une bouseuse comme elle », dixit Mathilde, qui n’a fait que récupérer un bien « que cette salope avait probablement volé dans un premier temps. » Et de l’empoisonner du même coup pour éviter un retour de bâton.
Mathilde porte le collier sur elle au moment de l’interrogatoire, et lorsque Morrighan l’aperçoit, sa parma est agressée. Elle réussit à cacher l’objet du délit au regard des autres et affirme à la Mère Elisabeth que cet objet maudit est probablement la source du malheur qui a frappé le couvent. Celle-ci passablement choquée tant par le second meurtre que par le comportement de Mathilde (qui pour pouvoir fuir alterne menaces, coups, tentatives de séduction auprès de Igor -ou quelque soit le nom du géant joué par Julien-) acquiesce, fait mettre en sécurité Mathilde et la partie en est restée là.
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Stukka



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MessagePosté le: Jeu 02 Aoû 2007, 21:28    Sujet du message: Répondre en citant

Mun bûcheron s'appelle Jean Neutral
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Deadelvis



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MessagePosté le: Jeu 02 Aoû 2007, 21:33    Sujet du message: Répondre en citant

On dit "mein bûcheron heisse Jean" quand on parle bien français. En tout cas le français que nous parlerions tous maintenant si quelques traîtres n'avaient pas travaillé à la dissolution de la belle amitié franco-allemande à laquelle le Maréchal (nous voilà...) a travaillé si dur.
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Stukka



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MessagePosté le: Jeu 02 Aoû 2007, 21:49    Sujet du message: Répondre en citant

Le point Godwin au troisième post ?!

Bon faudrait que je fasse un compagnon utilisable en attendant moué, puisque Jean est un servant pas trop con mais pas top polyvalent (un bouclier quoué).

Et un compagnon de sortie, ce serait sympa Neutral
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Deadelvis



Inscrit le: 16 Nov 2005
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MessagePosté le: Jeu 02 Aoû 2007, 21:54    Sujet du message: Répondre en citant

C'est sûr que niveau compagnons cette Saga est assez light. Comme la précédente en fait.
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Stukka



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MessagePosté le: Jeu 02 Aoû 2007, 21:57    Sujet du message: Répondre en citant

Nan mais là je pense peut être avoir un concept qui permette d'avoir un compagnon un peu durable, histoire de décoller un peu du cercle des mages. Je vais voir ça.
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Cum Lubilo



Inscrit le: 20 Nov 2005
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Localisation: Troyes

MessagePosté le: Ven 03 Aoû 2007, 9:10    Sujet du message: Répondre en citant

é mon crvindieu d'paysan y s'appelle Grenadou !

Je trouve juste que son action fondamentale dans la réussite de l'enquête n'est pas suffisamment soulignée... Faut bien qu'il permette la réussite de quelque chose !

Quant aux compagnons, Les miens étaient pas mal (Nunulf le forgeron et Edémard) seulement Edémard a subi les outrages du temps (et de...) et quand je me suis dit "tiens je vais jouer Nunulf", d'un coup, il a pourri sur pieds... C'est moche... Je devrais penser faire un nouveau compagnon, fier, beau, grand, à la peau lisse et aux fesses rebondis mais fermes.

Wouuuuuuu, j'ai le concept !!!
_________________
Avec joie!
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Stukka



Inscrit le: 31 Oct 2005
Messages: 2981

MessagePosté le: Ven 03 Aoû 2007, 11:33    Sujet du message: Répondre en citant

Je vois ça d'ici : un jeune éphèbe érudit venu de Rome avec des tendances un peu louches et des cheveux soyeux, ainsi qu'un amour immodéré pour le port de la toge qui laisse apparaître les fesses ?
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