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[Deadelvis]

A la fin de l'été 1299, le Comte de Foix a envoyé un de ses chevaliers, Sire Bruno-Robert de Targues au Val. Celui-ci est arrivé les bras chargés de présents, à remettre au seigneur de l'Alliance et à ceux de ses gens qui avaient participé à la capture de brigands bien coriaces. Brigands qui, soit dit en passant, ont été pendus pour leurs crimes et dont les corps ont ensuite été brûlés (chat échaudé craignant l'eau froide, les laisser exposés n'était pas du goût du comte, un homme pragmatique qui aime les morts qui le restent).
A tout seigneur tout honneur, PCF a donc reçu en récompense un faucon et un chien de chasse. Dame Nitouche a reçu un cheval. Dame Angélique une broche d'argent (un motif d'entrelacs) sertie d'une améthyste. Agrios un fléau. Et les servants anonymes une belle quantité de pâtes de fruits et quelques deniers chacun.

A l'automne 1299, Soledad a emmené Olive (la jeune femme restée malade suite aux événements musicaux de Vézay) et Perrigue (l'albinos pas mal fou, ex-servant de Bérinor, qui a manifestement passé quelques années dans Val Negra) jusqu'à l'Alliance de ce dernier.

Bérinor a pris en charge son ancien servant et a laissé Soledad utiliser un de leurs parchemins en remerciement : un sort de délivrance du maudit d'une magnitude suffisante pour soigner Olive. Le virtus pour rendre le sort instantané étant à la charge de Val Brésac (un an de récolte de virtus corporem y a été investi). Remise, Olive a décidé de rejoindre les rangs de l'Alliance. C'est une jeune femme éduquée et de sang noble qui intègre donc les PNJs (PJ potentielle si quelqu'un veut la jouer).

Au milieu de l'été 1300, Clarembault de Jerbiton, fils et filius de Paritage de Jerbiton (le quaesitor en chef du Tribunal provençal) est passé par l'Alliance en passant par le portail reliant Bellaquin au Val. Le quaesitor a demandé la permission d'user du portail du Val pour se rendre à Banice, d'où il comptait partir enquêter sur le second apprenti de Félix Necromius, chose que le Tribunal avait laissé en suspens 6 ans. Son but, trouver l'apprenti et déterminer s'il est intégrable à l'ordre (ou simplement désintégrable pour reprendre une bonne réplique de la table).
Clarembault a annoncé en passant qu'au moment de son départ, la ville de Toulouse avait été plongée dans l'émoi par l'assassinat d'un chevalier et de ses hommes d'armes, dans l'enceinte même de la cité.

L'été 1300 se termine ensuite, paisiblement et sous un doux soleil propice à de bonnes récoltes. Lors d'un dîner au réfectoire, après une matinée de labeur, la troupe de servants, quelques compagnons et mages se retrouvent autour de la table. Et profitent de pêches mûres avant d'attaquer une délicieuse omelette au fromage accompagnée d'une purée de blette (pour le malheur d'Angélique, une vraie gosse pourrie gâtée, qui va jusqu'à demander si, en tant que mage, elle bénéficie d'un menu particulier) et de pain. Le tout arrosé de vin jeune. Vient le dessert, une poire juteuse et rafraîchissante. Un courant d'air froid surprend alors l'assemblée et tous se retrouvent alors avec un goût de champignon en bouche en lieu et place du goût de poire qui comblait leurs papilles quelques instants plus tôt. Passée la surprise, certains recrachent, d'autres regoûtent la poire (pour constater qu'elle a à nouveau un goût normal) et tous se demandent ce qui s'est passé. Quelques servants osent demander à Angélique si elle est responsable (étant la seule mage présente), ce que l'intéressée nie. Cette dernière va d'ailleurs jeter un coup d’œil dehors et aperçoit Tiphaine, l'apprentie de Soledad, s'éloigner tranquillement.

Interrogée par Angélique, Tiphaine affirme n'avoir pas provoqué l'incident et en reste là. La jeune femme est relativement farouche et solitaire et réagit parfois brusquement à des propos innocents. Angélique songe un instant à l'espionner par magie avant de décider que la chose pourrait se retourner contre elle si l'apprentie le découvrait (l'espionnage magique étant relativement mal perçu au sein de l'Ordre d'Hermès, y compris l'espionnage d'une propriété magique comme un apprenti).

L'après-midi ne laissera guère de repos à la troupe :

Angélique est sans cesse dérangée par quelqu'un qui frappe lourdement à sa porte. A chaque fois qu'elle ouvre, personne (à l'exception d'un servant un peu étonné, qui s'est demandé si Dame Angélique n'était pas un peu folle). Un tour de magie plus tard, Angélique peut regarder au travers des murs de son sanctum qui la tourmente ainsi. Et constate que si personne il y a, elle n'est pas visible (et résiste même à un sort détectant normalement l'invisibilité).

Nitouche lors de sa ronde (elle ne surveille pas l'Alliance, elle surveille les gardes qui eux surveillent l'Alliance) passe à côté de la parcelle qui sert de cimetière. Là au milieu de pommiers (leurs fruits ne sont récoltés qu'à terre et pourris par les mages soucieux d'en extraire un précieux virtus perdo) et non loin de sa propre tombe, Nitouche constate que des champignons (eux-mêmes sources de virtus mentem pour les mages) ont été arrachés. Consciente de la valeur de cette ressource aux yeux des maîtres du Val, Nitouche sécurise les lieux et va prévenir Armand. Qui à son tour alerte les mages présents dans l'Alliance (ni PCF ni Soledad ne sont là, chacun étant parti en vadrouille). Nitouche arrive à déterminer que celui qui a volé le virtus ne devait guère peser lourd. Agrios convoque les mulots du coin (et non ceux du cru, sa magie ne permettant pas un tel tour de force) et discute avec eux sous le regard un peu interloqué des vulgaires présents. Les mulots confirment avoir vu deux deux-jambes prendre des champignons à l'aube. L'un avait le poil long, l'autre moins. Et les deux semblaient relativement petits pour un deux jambes. En tout cas, plus petit qu'un géant (de ça ils sont sûrs).

Pendant ce temps, Clotaire (qui glande dans son sanctum, probablement repu de sa propre suffisance) est réveillé de sa sieste par un plic-ploc agaçant et troublant. Le temps d'ouvrir les yeux, de connecter les neurones endormis et Clotaire constate que de l'eau goutte, certes, mais de son bassin d'ablutions vers le plafond, où elle s'est accumulée en une grande flaque. Paniquant un peu, il se lève et fuit lorsque la température de la pièce chute vertigineusement, au point d'en faire geler bassin et flaque. Il s'empresse évidemment d'alerter les mages qu'il trouve mais ceux-ci ne trouvent dans sa chambre qu'un peu d'eau (fraîche) par terre et rien de réellement alarmant.

L'ensemble de manifestations amènent cependant les mages à se perdre en conjectures : poltergeist pour Angélique, fées pour Agrios, géants pour Morrighan (qui n'était pas là mais sait bien que les géants sont toujours dans les mauvais coups). Fiorenza est appelée à la rescousse et identifie dans les archives quelques événements possiblement ressemblants : la possession de deux femmes de l'Alliance qui avait abouti à la quasi castration de Clotaire, la possession d'un servant par le fantôme courroucé d'un évêque assassiné (événement plus ancien, qui avait abouti à au moins un meurtre), la possession de Taritus par un fantôme dans les ruines d'un village abandonné situé à une journée de l'Alliance (événement qui l'avait amené à tenter de tuer ses compagnons de voyage à coups de boule de feu) et un accident mettant en cause le même Taritus, qui, suite à un désastre magique, avait disparu pendant plusieurs mois, avant de réapparaître sous la forme d'un fantôme. Il avait pu être contacté et sauvé d'une sorte de regio dans lequel il s'était trouvé enfermé (et qui était peuplé de « personnes » puissantes et mauvaises -mages ou créatures magiques voire infernales, dur à dire, aucune investigation poussée n'ayant jamais été entreprise à ce sujet-, dont une avait tenté une sortie dans l'Alliance, pour finir en poussière, rattrapée subitement par le poids des années passées hors du monde).

Alors qu'ils en débattent dans la cour centrale de l'Alliance, au pied de la tour, ils sont soudain pris dans une véritable micro-tempête de poussière et de cailloux, le vent étant suffisamment fort pour soulever les pierres du sol et les faire tournoyer. Personne n'est touché par les cailloux et les mages tentent tant bien que mal de se défendre contre l'agression. Seul Angélique parvient à se concentrer suffisamment pour apaiser la tempête, mais sa magie n'arrête pas la farandole de cailloux qui se rassemble en un endroit et forme une sorte de mini-tornade, qui finit par exploser violemment, projetant roches et éclats sur les spectateurs impuissants. Nitouche bondit écu au poing et protège Estelle, Angélique est légèrement blessée au tibia, Clotaire à l'épaule. Agrios mange les cailloux comme il mange des enfants. Avec beaucoup d'indifférence, sa peau étant aussi épaisse que son cœur est insensible aux cris apeurés.

Quelques sorts de détection dans la cour, chez Clotaire et dans le réfectoire n'amènent à rien de concluant. Mais Nitouche, qui a repéré une Tiphaine décidément louche suit la jeune apprentie. Celle-ci rentre dans la tour après la tempête, en ressort quelques instants plus tard et semble chercher tout autour quelque chose qu'elle ne trouve manifestement pas. Confrontée par Agrios, elle admet finalement, non sans mal et non sans agressivité, avoir observé durant une partie de la journée une sorte de feu follet (inoffensif se justifie-t-elle) qui se baladait dans l'Alliance et qu'elle peut voir par intermittence, grâce à un don qu'elle possède. Elle explique aussi que juste avant la tempête de cailloux, elle a vu surgir un esprit bien plus puissant et menaçant, qui a attaqué le petit esprit. Celui-ci s'est défendu mais a dû fuir vers la tour, où l'autre l'a poursuivi. Tiphaine les a perdus de vue à ce moment.

Pendant ce temps, les servants se rassemblent au cœur de l'aegis, soucieux de se compter et conscients qu'en cas de coup dur, l'union fera la force. Et ils se rendent compte que deux enfants, Gérald, 9 ans, et Aude, 8 ans, manquent à l'appel. Ils le signalent donc aux mages, vaguement inquiets. Nitouche organise une battue dans l'Alliance. Les mages, eux, usent de sorts de traque, qui permettent de trouver rapidement trace d'Aude, laquelle semble être dans les caves de la tour (l'ancien sanctum de Victime d'Ex Miscellanea, mage qui tourna très mal il y a bien longtemps de cela, finit dans les rangs des infernalistes et assassina Rebecca de Guernicus -du Val aussi- avant d'être décapitée par ses alliés qui craignaient que l'enquête hermétique lancée contre Victime ne remonte leur trace). Agrios et Angélique la retrouve inconsciente et blessée à la tête dans l'ancien sanctum.

Dans le même temps, Nitouche retrouve Gérald. Qui non seulement ne l'écoute pas mais devient extrêmement grossier lorsqu'elle l'attrape. Et use de sortilèges venteux violents (sans la moindre incantation -précision du MJ-), sans grand effet sur la chef de la turbula (mais suffisants pour convaincre les servants de rester à distance et de prévenir Armand). Après quelques sorts inefficaces de plus, le gamin est plaqué au sol par Nitouche, ce qui ne l'empêche par de continuer ses maléfices et d'abreuver son ennemie d'un torrent d'insultes. Nitouche capte toutefois son attention en mentionnant que ses maîtres, des mages, vont arriver et lui botter ses fesses d'esprit possessif. La chose aux commandes du gamin lui demande alors si elle parle de mage hermétiques et, lorsque Nitouche confirme, quitte le jeune corps, non sans avoir dit « dis leur que nous reviendrons bientôt ». Nitouche ne pourra pas dire qui est ce « nous » menaçant. Lorsque Gérald reprend conscience, il est redevenu lui-même et se met à pleurer.

Les deux enfants sont enfin rendus à leurs parents et donneront leur explication plus tard dans la nuit :

La jeune Aude a convaincu Gérald que si les mages gardaient pour eux seuls pommes et champignons, c'était parce qu'ils tiraient leurs pouvoirs de cette nourriture. Les deux enfants ont donc monté un casse supposé leur apporter pouvoirs de mage, richesse, autorité, femmes et drogues (il n'y a plus de jeunesse, bienvenue au presque XIVème siècle, qui sera décadent ou ne sera pas). Et de bon matin, ils ont donc volé des champignons. Mais pas de pommes parce qu'ils n'ont pas pu les attraper (vu qu'il s'agit de virtus perdo, c'est peut-être mieux pour eux qu'ils n'aient pas été plus grands). Et ils sont allés dans un des repaires des enfants de l'Alliance, l'ancien sanctum de Victime, y dévorer leur bien mal acquis.

Et ils se sont alors sentis tous drôles et ont bénéficié de leurs premiers pouvoirs de mage, à savoir voler et passer au travers des murs, le tout en étant invisible (pas mal pour un premier essai). Tous contents de leur découverte et enivrés par leur perception nouvelle du monde (et un peu déformée il faut le dire). Ils ont donc passé le temps en taquinant un peu les gens qu'ils percevaient et en volant un peu partout. Mais ont finalement été attaqués par une sarramauca (version locale et féminine du croque-mitaine, spécialisée dans l'étouffement dans leur sommeil de personnes faibles -nourrissons, enfants, malades-), qu'ils ont tenté de repousser en lui lançant des cailloux. Suite à cette bataille, ils se sont sentis comme aspirés vers la cave où reposaient leurs corps, où la sarramauca les a poursuivis. Elle a alors attrapé Gérald par la jambe l'a rejeté en arrière et lorsque Aude s'est réveillée dans son enveloppe corporelle, elle s'est retrouvée face à un Gérald relativement hostile qui l'a projetée contre un mur d'une bourrasque et l'a laissée inconsciente avant de s'aventurer dehors (pour finir neutralisée par Nitouche).

Sur le coup, Agrios, auto-décrêté chef de l'Alliance par intérim, décide que les parents puniront leurs enfants eux-mêmes (mais je laisserai ça à l'appréciation du conseil) et que la sanction de Tiphaine serait laissée aux soins de Soledad.

Je note que l'esprit non identifié a eu de la chance en affrontant Nitouche. Si elle (puisque Tiphaine et les enfants la décrivent comme plutôt féminine) avait croisé Agrios, elle aurait fini dans son estomac. Mais lui aurait peut-être trouvé un drôle de goût à cet enfant malpoli et venteux.


1 Px pour les personnages qui ont été raisonnablement impliqués dans le scénario.

[Stukka]

Je note tout de même :

[Cum Lubilo]

Ça c'est assez extraordinaire :

[golgoth5]

Je crois me souvenir qu'à une lointaine époque un sort avait été inventé par Narcos de Criamon pour révéler les fantômes dans l'Alliance - sans certitude aucune.
Mais figure dans la bibliothèque son Révélation de l'âme en peine.
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[Deadelvis]

Dimitri : Julien arrive bien à me faire rire avec une de mes propres citations (le sanctum de Clotaire)... Bonjour mon bon ! Que votre journée soit douce.


Golgoth5 : oui Narcos a inventé un équivalent du MuMe5 lancé par Agrios. Qui a une durée plus longue que "un round". Sans doute le sort référencé dans la bibliothèque.

[golgoth5]

Il me semble aussi qu'un équivalent d'Aegis du Foyer avait été inventé pour révéler les fantômes - ou peut-être avait-il seulement été discuté
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[Deadelvis]

Pour l'aegis à fantômes, je crois qu'il avait été décidé que quitte à claquer du virtus, autant le faire sur un truc comme un vrai aegis.


Sinon, Soledad ayant appris de la bouche d'Agrios les événements relatifs aux champignons, elle s'est entretenue avec Tiphaine.

Tiphaine s'est excusée devant le conseil pour ses actions inconsidérées. Soledad a tout de même tempéré en expliquant que Tiphaine ne pensait pas à mal et a eu l'intention de parler aux mages du "gros esprit" dès qu'elle l'a vu, puisque celui-ci paraissait plus dangereux que l'esprit mineur.

Soledad a toutefois puni Tiphaine :

1. l'apprentie devra passer une saison l'été (1301) à travailler aux champs, sous l'autorité d'un servant de confiance qui sera désigné d'ici là. Elle pourra ainsi se lier un peu plus à l'alliance en participant à sa vie quotidienne. Et Soledad espère ainsi apprendre à la jeune femme à ne pas réfléchir en termes purement égoïstes et purement magiques. Les servants sont membres de l'alliance à part entière et doivent être protégés des phénomènes magiques inconnus. La recherche de Tiphaine était compréhensible mais n'aurait pas dû mettre en danger qui que ce soit.

2. Tiphaine devra travailler une saison au service d'un mage de l'alliance. C'est Soledad qui recevra les propositions de ses consortis et qui choisira selon l'intérêt que présenteront les travaux envisagés. Elle laisse deux saisons à ses consortis pour faire une proposition. Tout le monde y est invité s'il le souhaite.

[golgoth5]

Ben Morrighan veut bien la prendre une saison mais ça risque de faire deux saisons passées aux champs. Ceci dit elle se propose sérieusement de la prendre en charge une saison pour lui faire découvrir la vie de la communauté.

Sinon Nitouche se propose de la prendre une saison comme apprentie pour lui permettre de perfectionner sa théorie de la magie
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[Deadelvis]

Ok pour Morrighan pour la première saison : c'est une bonne assurance que Tiphaine aura une interlocutrice capable de lui faire découvrir le monde vulgaire tout en étant un de ses pairs. Parfait.

[Cum Lubilo]

Elle peut faire quoi Tiphaine ?

Parce que si je passe une saison à enseigner à Jehan, je peux peut-être en profiter pour y convier Tiphaine...
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Avec joie!

[Deadelvis]

L'idée est que l'apprenti, en plus de coûter une saison de travail minimum par an à son maître, peut travailler pour lui (ou quelqu'un d'autre) dans son laboratoire. Et ajoute dans ce cas son intelligence et sa théorie de la magie en score d'assistant de labo.

Certains apprentis travaillent assez scolairement. D'autres sont beaucoup mis à contribution par leur maître. Soit directement, soit parce que le maître monnaye ou partage les talents de son apprenti avec ses consortis.

[Cum Lubilo]

[Deadelvis]

Vu la correction apportée, peut-être pas...

[golgoth5]

Si j'étais PCF je m'assurerais au préalable que Tiphaine n'a pas la capacité de balancer un éclair ou un autre sort offensif
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